Transformation des échéances (term transformation)

Dans le cas d’une banque, compensation des dépôts de la clientèle avec des délais de remboursement plus courts d’une part et des prêts accordés avec des échéances plus longues d’autre part. La contribution d’une opération individuelle à la transformation des échéances est souvent désignée comme contribution structurelle (structure contribution). Le résultat de la transformation des échéances d’une banque est la somme des contributions structurelles. En 2010, vingt pour cent des produits d’intérêts (interest receivable) de toutes les banques allemandes étaient imputables à la transformation des échéances. – Mais si les dépôts et les prêts, les principaux passifs et actifs du bilan bancaire, ont des échéances similaires, alors la transformation d’échéances n’existe plus. Une augmentation de la masse monétaire, même de plus de dix pour cent, serait neutre du point de vue de l’inflation si l’échéance moyenne des passifs n’augmentait pas. Depuis 2005 environ, cette relation a été largement débattue. – Voir dépôts, congruence des échéances, fonds immobiliers, ouvert, inflation, intermédiation, mission essentielle, bancaire, interdiction de crédit, gestion des liquidités, obligations d’épargne, titrisation.

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Professeur d’université Dr. Gerhard Merk, Dipl.rer.pol, Dipl.rer.oec.
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