dans les documents anciens, les monnayeurs fabriquent et utilisent pour leur propre usage des pièces de monnaie provenant du stock de métal précieux qui leur a été remis par le maître de la monnaie et dont une partie a été détournée par le monnayeur. – La frappe illégale (restrike) d’une pièce connue et largement répandue par un autre maître de la monnaie. L’objectif était d’introduire la contrefaçon dans la zone de circulation du modèle. Toutefois, pour ne pas se rendre coupable d’une contrefaçon formelle de la monnaie (direct counterfeiting), très sévèrement punie, les pièces étaient rarement copiées dans leur intégralité. La plupart du temps, des parties des dessins ou des inscriptions – parfois même de minuscules marques à peine visibles à l’œil nu (mintmarks invisible to the nacked eye) – indiquent la véritable origine des pièces. – Voir Monnaie, mal, wardein.
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Professeur d’université Dr. Gerhard Merk, Dipl.rer.pol, Dipl.rer.oec.
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