Doctrine de Greenspan (Greenspan doctrine)
L’opinion selon laquelle une banque centrale ne devrait généralement pas s’occuper des bulles dans les prix des actifs. En effet, il est difficile d’identifier clairement une bulle, et si la politique monétaire utilise le taux directeur pour freiner la hausse des prix des actifs, l’évolution de l’économie réelle est globalement freinée, ce qui pourrait même, dans le cas extrême, déclencher une déflation. Une banque centrale ne peut poursuivre qu’un seul objectif, à savoir la préservation de l’unité de mesure de l’argent. La tentative d’atteindre plusieurs objectifs avec un seul instrument conduit tôt ou tard à une perte de crédibilité par rapport à l’objectif principal, à savoir la garantie du pouvoir d’achat de la monnaie, ce qui a un impact direct sur les attentes inflationnistes. – Cette doctrine (nommée d’après Alan Greenspan, président de la banque centrale américaine de 1987 à 2006) est controversée. – Voir bulle, spéculative, bulle dotcom, question d’Elisabeth, investissement financier, leadership, verbal, création monétaire, masse monétaire, stabilité monétaire, doctrine de Greenspan, volonté d’agir, bulle immobilière, politique de taux bas, taux zéro, stabilité des prix crise des subprimes, bulle patrimoniale, effet de richesse, opération de différentiel de taux, taux d’intérêt, maintenu bas,
Principe des deux piliers. – Voir le Bulletin mensuel de la BCE de septembre 2013, p. 61 et suivantes (sur l’influence de la politique monétaire sur les prix des actifs ; aperçus).
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Professeur d’université Dr. Gerhard Merk, Dipl.rer.pol, Dipl.rer.oec.
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