carte équipée d’un microprocesseur (puce) et servant au paiement sans numéraire. Dans sa forme de base, elle peut être utilisée comme porte-monnaie électronique et être dotée de différentes fonctions supplémentaires (telles que le stationnement, la téléphonie). – Les émetteurs de cartes monétaires sont en principe soumis à la surveillance ; pour les exceptions, voir § 2, al. 5 de la loi sur le crédit. L’obligation de vérification de l’identité prescrite pour l’ouverture d’un compte s’applique également ici. – Le problème (sans doute insoluble) des cartes monétaires réside dans le fait qu’elles peuvent être contrefaites et falsifiées bien plus que l’argent liquide (protégé à grands frais par les banques centrales). Les données concernant la part des cartes contrefaites et le volume de transactions frauduleuses qu’elles génèrent sont contradictoires. – Les avis divergent également sur la question de savoir dans quelle mesure les cartes monétaires ont un impact sur le comportement des ménages et si elles entraînent une perte de contrôle sur l’utilisation de l’argent. – Selon une enquête de la Deutsche Bundesbank, quatre transactions sur cinq dans le commerce de détail en Allemagne ont été réglées en espèces au printemps 2011. Par rapport aux ventes au détail, la part de l’argent liquide était de soixante pour cent au moment de l’enquête, avec une légère tendance à la baisse en faveur des cartes de paiement. – Voir rejet, émetteur, autorisation, limitation de la valeur des billets, taux de paiement en espèces, carte communautaire, paiement par ordinateur, carte à puce, escompte, ligne directrice EMV, carte de crédit d’entreprise, blocage des distributeurs automatiques de billets, argent, électronique, interoptabilité, carte, multifonctionnelle, vérification de l’authenticité de la carte, compte, anonyme, carte de crédit, commerce en réseau, Pay-GreenInitiative, monnaie plastique, processeur, livret d’épargne, ticketing, électronique, courtier d’angle, carte de paiement. – Cf. rapport mensuel de la Deutsche Bundesbank de décembre 2006, p. 93 et suivantes (présentation détaillée ; nombreux aperçus), rapport mensuel de la Deutsche Bundesbank de juin 2009, p. 52 et suivantes (en 2008, 58 pour cent des Allemands payaient en espèces et seulement 26 pour cent par carte ; lignes de développement).
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Professeur d’université Dr. Gerhard Merk, Dipl.rer.pol, Dipl.rer.oec.
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